La mort d'une note de musique,
Essoufflée dans sa langueur,
De sa torpeur,
Emporte
Les doux sons de sa beauté,
Émerveillée.
La chanson du silence ému,
Où tout s'éteint,
Pour presque rien.
Dans cette présence,
La musicalité,
Nerveuse et chaude,
Intense et étonnée,
M'a donné un jour,
Le courage d'exister
Aix-en-Provence - Le 24 février 1984
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